Farès Hadj Sadok
63 rue Jean Jaurès, 93130, Noisy-le-sec
+33 7 66 85 63 34
fares.hadjsadok@gmail.com
@faraway2medi6
Lecture_1

09-2021
Fontaine
Sculpture
Marseille
Savonnerie Fer à Cheval

Née d’un échange épistolaire, la collaboration artistique de Victoire Gonzalvez et Farès Hadj-Sadok prend forme autour d’un intérêt partagé pour le leurre et le simulacre, les références religieuses et ésotériques mais encore l’art funéraire. Cette rencontre plastique se concrétise et s’épanouit au sein de la création commune d’une pièce d’envergure, emblématique des thématiques qui les animent : une fontaine entièrement conçue en savon, créée spécifiquement pour l’espace de la manufacture du Fer à cheval, savonnerie marseillaise fondée au XIXème siècle. Motif par excellence de l’espace public, la fontaine habille nos villes. Lieu de rencontre, elle constitue le décor souvent négligé de nos histoires de vie. Tour à tour édifice public ou domestique, élément de décor fastueux des récits mythologiques ou simple source d’eau vive qui jaillit de terre, son caractère parfois sacré et empreint d’une certaine magie, lui confère une dimension atemporelle. À l’instar de celle de jouvence - synonyme de régénération - l’œuvre à quatre mains de Victoire Gonzalvez et Farès Hadj-Sadok questionne le beau, le sacré, le patrimoine et l’artisanat. Elle est le fruit de leurs visions lumineuses et occultes, d’une complicité habilement cultivée et étoffée par des lettres d’amour échangées pendant plusieurs mois. Elle est aussi l’opportunité de nous glisser dans un processus créatif fait d’odeurs, de désirs, d’envies, de matières et d’envies de matières. Fidèles à leur goût pour la faussairerie, ils convoquent des modèles éclectiques qu’ils empruntent à différents âges architecturaux. La pièce pensée par le duo d’artiste combine ainsi ornements marins et bas-reliefs antiques pour forger un objet baroque à l’identité trouble. Le bassin, surmonté d’une conque qui l’enserre, sur les bords duquel le sel vient se cristalliser, revêt un caractère intime. L’eau chargée en saumure qui s’en échappe permet à l’objet sculpté en savon de ne pas se déliter au contact du liquide qu’il accueille. L'abreuvoir féérique dont le façonnage aura lieu tout au long du samedi et dimanche 18 et 19 septembre, prendra également forme au contact du regard d’un public invité à donner de son temps. En échange, Victoire Gonzalvez et Farès Hadj-Sadok les inciteront à se munir d’une perle en savon avant de l’abandonner dans ce bassin aux vœux. Dans la lignée des ex-voto, leitmotiv récurrent dans leurs travaux, ces billes s’apparentent à des offrandes chargées de leur souhait le plus cher, qui viendront se dissoudre au fil du temps. Le duo interroge nos chemins de vie et les directions que nous empruntons chaque jour lorsqu’ils nous demandent de faire un vœu. Cadeau empoisonné, le souhait qui nous est offert, s’il apparaît d’abord comme une façon de compenser le temps que nous leur avons donné, est une manière de nous confronter à nos chimères intérieures. Sirènes tentatrices à l’allure inoffensive, les perles disent plus de nous que nous n’aimerions l’admettre. Elles nous font oublier le temps qui passe, telles les fleurs de Lotus offertes par les Lotophages aux compagnons d’Ulysse, sortes de dragées imaginées pour nous délester de nos désirs les plus obsédants. Lors de cette résidence artistique, Victoire Gonzalvez et Farès Hadj-Sadok sculptent le temps en s’emparant d’une forme pensée pour rester immuable dans l’espace de la savonnerie. Pensine aux pronostics, l’œuvre est vouée à rester sur place et à accueillir les parieuses et parieurs de demain. Happé•e•s par l’odeur de propre, séduit•e•s par la promesse des deux artistes, elles et ils viendront, à leur tour, tenter le coup. emploi fictif Sarah Lolley & Camille Velluet

Fontaine
En collaboration avec Victoire Gonzalvez
Savon de Marseille, robinet en laiton
170 x 60 x 20 cm
Septembre 2021
Fontaine
En collaboration avec Victoire Gonzalvez
Savon de Marseille, robinet en laiton
170 x 60 x 20 cm
Septembre 2021
07-2021
Looking in on me changing
Sculpture
Paris
Commissariat Sarah Tritz

Bras en balade
Vue de l'exposition "Looking in on me changing"
Enveloppe, silicone, laine, perles de roccaille
22 x 32 x 4 cm
Collaboration Victoire Gonzalvez
Galerie Mansart, Paris, juillet 2021
Sintashell
Vue de l'exposition "Looking in on me changing"
Lavabo, résine, perle de rivière
35 x 35 x 12 cm
Collaboration Victoire Gonzalvez
Galerie Mansart, Paris, juillet 2021
Sintashell
Vue de l'exposition "Looking in on me changing"
Lavabo, résine, perle de rivière
35 x 35 x 12 cm
Collaboration Victoire Gonzalvez
Galerie Mansart, Paris, juillet 2021
Sintashell
Vue de l'exposition "Looking in on me changing"
Lavabo, résine, perle de rivière
35 x 35 x 12 cm
Collaboration Victoire Gonzalvez
Galerie Mansart, Paris, juillet 2021
Sintashell
Vue de l'exposition "Looking in on me changing"
Lavabo, résine, perle de rivière
35 x 35 x 12 cm
Collaboration Victoire Gonzalvez
Galerie Mansart, Paris, juillet 2021
07-2021
Ce que je prends ce que je laisse
Sculpture
Paris
Commissariat Service-service

Invitation
Courrier, formulaire, timbre
Juin, 2021, Paris
Formulaire
Formulaire, timbre
Juin, 2021, Paris
Sardine
Vue de l'exposition "ce que je prends ce que je laisse" service servie 14 rue Daval
Sardine, dorure, feutre, boîte de Sardines
10,5 x 7,5 x 5,5 cm
Paris, juillet 2021
Pièce acquise, collection Louis Raffinot
Emma Pin (c)
06-2021
Champs Élysées
Photographie
Saint-Léger

Souvenir d'une sculpture réalisée dans le cadre d'une commande

Champs Élysées
Argentique
Tirages limités à 09 exemplaires
Juin, 2020, Saint-Léger
04-2021
Faire surface
Sculpture
Aubervilliers
Commissariat None atelier

Collaboration avec Victoire Gonzalvez

Armoire à pharmacie
Vue de l'exposition "faire surface"
Savon de Marseille, plexiglas, sucre , bois
50 x 35 x 10 cm
Aubervilliers, 2021
Victoire Gonzalvez (c)
Armoire à pharmacie
Vue de l'exposition "faire surface"
Savon de Marseille, plexiglas, sucre , bois
50 x 35 x 10 cm
Aubervilliers, 2021
Victoire Gonzalvez (c)
Armoire à pharmacie
Vue de l'exposition "faire surface"
Savon de Marseille, plexiglas, sucre , bois
50 x 35 x 10 cm
Aubervilliers, 2021
Victoire Gonzalvez (c)
Armoire à pharmasisi
Vue de l'exposition "faire surface"
Savon de Marseille, plexiglas, sucre , bois
50 x 35 x 10 cm
Aubervilliers, 2021
Victoire Gonzalvez (c)
04-2021
Au milieu des choses au centre de r #5
Installation
Pantin
Commissariat Emploi fictif, Arthur Guespin

Ne pas mouiller le chat qui dort Allongée sous une couette aux allures de suaire, une forme inanimée sommeille. Le plissé des draps qui l’accueillent rappelle celui des marbres de gisants, et laisse entrevoir sa silhouette féline et dormante aux contours incertains. Habitué à créer des contenants pour des choses qui n’en (s)ont pas, Farès Hadj-Sadok joue avec les formes et les textures dans un acte démiurgique où chaque détail a son importance. Une ode à la contemplation représentative de son attention pour les narrations quotidiennes que l’on pourrait considérer comme des non-évènements. Le linceul strié qui épouse ce corps désincarné évoque un ex-voto vivant dont on cherche à percevoir la douce respiration irrégulière. Dans son drap immaculé, le corps du chat repose à la manière des restes momifiés qui accompagnaient leurs maîtres jusque dans leur dernière demeure dans l’Antiquité égyptienne. Zoolâtre accompli, l’artiste se fait le digne héritier des faussaires égyptiens, imposteurs d’un temps passé qui plaçaient des coquilles d'œufs en lieu et place de l’animal et dont les méfaits ont été découverts par l’archéologie contemporaine. Les différentes couches qui enveloppent la forme latente cachée sous les draps constituent un habitacle-refuge lui-même enclavé dans l’enceinte d’un espace clos, un asile apaisant et propice au repos au sein duquel elle se serait faufilée par une embrasure clandestine. Par l’intervention de Farès Hadj-Sadok, la serre d’Arthur Guespin retrouve sa fonction protectrice. Chambre aux volets fermés d’où l’on écoute la pluie battante tomber, elle abrite et veille sur cette forme somnolente dont il importe peu qu’elle soit authentique. Rejouant l’expérience de Schrödinger dans une atmosphère quasi christique, l’artiste donne à voir presque malgré lui les états superposés envisagés par le physicien lorsqu’il théorisait une éventuelle présence et absence d’un corps qu’on ne perçoit pas. Non plus figée dans un état ou une époque déterminée, la figure furtive aux courbes à peine dessinées se présente comme un simulacre, un leurre au fondement de la pratique artistique de Farès Hadj-Sadok. À demi-disparu, enseveli sous une couche rigide et pétrifiée à l’image d’un reste pompéien, le chat se devine plus qu’il ne se regarde. Il est tout à la fois le protagoniste principal d’une scène de vie à contempler et le défunt dans un mausolée qu’il s’agit d’honorer. L’œuvre a surgi « comme une herbe pâle entre deux pavés », une alternative, un pas de côté fait de coton molletonné, modelée par les mains de l’artiste et par la force d’un vent artificiel. Un tour de prestidigitateur qui vise à ramener de la splendeur sur le béton coulé, à capturer l’essence de la beauté nonchalante d’un animal vénéré, étendu au milieu des dégradés de blancs qui se répondent dans un jeu de tissus faussement ordonnés. Sculpture sensuelle saisie dans une posture presque extatique, le bel endormi rêvasse ; madone alanguie au sein d’un monochrome de drapés enchevêtrés. Vue de loin dans l’imposant espace inhabité des Magasins généraux, la serre semble immortalisée, hors du temps, dans un résidu de poussière trop blanche pour être vraie et qui ne laisse entrevoir que de délicates empreintes félines, traces factices qui nous interrogent sur une possible réincarnation de cet être gracile aux multiples vies. emploi fictif

Au milieu des choses
Vue de l'installation
Sculpture, serre, plastique
1,60 x 2 m
Magasins Généraux
2021, Pantin
Arthur Guespin (c)
Au milieu des choses
Vue de l'installation
Maïzena, gold light
Magasins Généraux
2021, Pantin
Arthur Guespin (c)
Au milieu des choses
Vue de l'installation
Sculpture, plastique
1,60 x 2 m
Magasins Généraux
2021, Pantin
Arthur Guespin (c)
Au milieu des choses
Vue de l'installation
Serre, maïzena, gold light
Magasins Généraux
2021, Pantin
Arthur Guespin (c)
03-21 06-21
100% l'expo
Installation
la Villette
Commissariat Inès Geoffroy, Alexandra Fau

Messageries
Vue 100% l'expo
Dispositif vidéo
23 x 11cm
vidéo 6'20'
2021
Reproduction Marie Ward (c)
Messageries
Vue 100% l'expo
Dispositif vidéo
23 x 11cm
vidéo 6'20
2021
Reproduction Marie Ward (c)
Flaneurism and serendipity
Vue 100% l'expo
Installation, Mixe média !
4 x 10 m
2021
Reproduction Nicolas Krief (c)
Flaneurism and serendipity
Vue 100% l'expo
Installation, Mixe médias
4 x 10 m
2021
Reproduction Nicolas Krief (c)
Mur aux offrandes
Vue 100% l'expo
Installation, Mixe médias
4 x 10 m
2021
Reproduction Farès Hadj-Sadok (c)
Ex-voto
Vue 100% l'expo
Nature morte
24,3 x 32,5cm
2021
Reproduction Marie Ward (c)
Ex-voto
Vue de l'exposition
Nature morte
vidéo 00'28' s
Mars-juin 2021 Reproduction Marie Ward (c)


En cours
Sent With Love
Conversation
Paris
Commissariat Sarah Lolley, Camille Velluet
Avec
Victoire
Gonzalvez

Avec Victoire Gonzalvez

Sent With Love est un pro­jet d’expo­si­tion en duo qui créé à par­tir d’en­vois postaux. Employant l’espace de l’en­ve­loppe com­me lieu de pré­sen­ta­tion, les oeuvres sont envoyées de façon hebdoma­daire. Contraints de re­pen­ser nos ma­nières de pro­duire et de mon­trer des oeuvres dans un con­texte de crise sani­taire, le projet ex­plore les pos­si­bi­lités de tra­vailler en uti­li­sant uni­quement des ob­jets dont nous dis­po­sons dans l’es­pace de nos lieux de vie res­pectifs. Dé­buté en novembre 2020 nous en­vi­sa­geons de con­ti­nuer ces en­vois sur une année. Conjuguer nos ex­pé­riences quo­ti­diennes au fil du temps nous per­met d’en­vi­sa­ger des nou­velles ma­nières de « faire ensemble ». Cette in­trospe­ction dans l’in­ti­mi­té de nos es­pa­ces et his­toires person­nelles per­met non seu­le­ment une ré­flexion sur la ma­nière de faire dia­lo­guer les arte­facts avec soi, mais aussi la pos­si­bi­li­té de créer à par­tir de peu.

Lettre à Victoire
Envoir postal, Farès n°2
Enveloppe craft, fleurs séchées, timbre
32 × 23 cm
2021
Natures mortes à Victoire
Envoir postal, Farès n°4-5
Perles, emballage pharmaceutique, pochette plastique, pince
Dimensions variables
2021
Coquillages à Farès
Envoir postal, Victoire n°3
Coquillage, sucre, sachet plastique, tissu coton
6 × 4 cm
2021


10-2020
Office for flaneurism
Installation
Paris

En envisageant le dé­sordre de sa chambre comme un nou­veau paysage, le sé­ren­dipe qui ha­bite ces lieux trans­forme les ob­jets de son quo­ti­dien en ob­jets sur­réaliste.
Archivant l’ordi­naire, col­lec­tant les preuves tan­gibles de son ex­istence, puis les su­blimant, il les fait cor­respondre avec son environ­nement. Ses che­mises de­viennent des enve­loppes, qui en par­cou­rant le temps et l’es­pace, s’af­fran­chissent d’un corps pour ex­ister dans la réa­lité d’autres per­sonnes, s’en­richi­ssant ainsi de nou­velles traces, de nou­velles his­toires, de nou­veaux passés.
Ces vê­te­ments sont de­ve­nus des mes­sagers qui abri­tent en trans­pa­rence des ob­jets gla­nés, dé­ro­bés à leur réa­lité. Un fou­lard s’est mé­ta­mor­phosé en échiquier. Des chaus­sures se logent dans la mo­quette et un car­net de timbre prend le pou­voir d’un ex-voto. Désormais, la chambre elle-même se trans­forme en un temple que plus per­sonne ne possède, non-lieu ha­bité par des ob­jets, qui à force de trans­formation appar­tiennent dé­sormais à un entre-deux, et sont dé­pos­sédés de leurs iden­tités et de leur fonc­tions pre­mières; hé­ri­tages d’une sen­si­bi­lité main­tenant trans­missible, main­tenant uni­verselle, qui a dé­passée les con­tours d’une chambre pour se ré­pandre ailleurs.

Hommage
vue de l’installation Office for flaneurism
chemise, projection vidéo, fleurs séchées, chaise
90 × 60 × 60 cm
2020
Installation Office for flaneurism
Techniques mixtes,
2,80 × 2 m
DNSAP, ENSAD, Paris
Septembre, 2020
Nature Morte
vue de l’installation Office for flaneurism
chemise, projection vidéo, fleurs séchées, chaise
90 × 60 × 60 cm
2020
Chemise postale Nature Morte
vue de l’installation Office for flaneurism
Cadre, chemises postales, banc, feutre, pions
66 × 47 cm
2020
Ex-Voto
Timbre plaqué or, livre "pensée pour ma mère
7,5 × 12,5 × 2,5 cm
2020
Réplique d’une preuve de dépôt
Scan, poppeline de coton, transfert
23 × 10cm
2020
Office for flaneurism
Détails
Septembre 2020
objets trouvés
5 × 5 cm
Mars 2020
Office for flaneurism
Détails
Mars 2020
Étude de poche à cigarette
14 × 12 cm
Mars 2020
Office for flaneurism
série de pièces uniques chemises postales
Septembre 2020
Miniatures Mortes Postales
Vue de l’installation Office for Flaneurism
2020
Miniatures Mortes Postales
Multiples N9/42, enveloppe, artefacts glânés
23 × 11 × 5 cm
2019-2020
Miniatures Mortes Postales
Archive scannée de la série
2019-2020


10-2020
Messager
Sculpture
Paris

Une paire de chaus­sure en­se­ve­lie par la mo­quette, qui à l’image de la na­ture re­prend ses droits tout en pré­ser­vant l’em­preinte de ce qu’elle re­couvre.
Cette scul­pture est née d’une fic­tion dans la­quelle est faite une ana­lo­gie entre les at­tri­buts d’Hermès, pos­tier di­vin qui a pré­féré troqué ses san­dales ailées contre des chaus­sons pour jouir d’une nou­velle forme de com­muni­cation et ceux du flâ­neur d’aujourd’hui, qui n’arpente plus uni­que­ment les rues et les bou­le­vards des grandes villes, mais s’évade et se perd dans une con­templa­tion in­fi­nie des dif­fé­rentes fe­nê­tres qui par­sement nos écrans.

Messager
Vue de l’installation Office for flaneurism
Feutre, mocassin, plâtre
90 × 90 × 13cm
2020
Messager
Sculpture
Feutre, mocassin
90 × 90 × 13 cm
2020

Image Marie Ward


10-2020
Mon Poulet
Sculpture
Paris
Mon poulet
Sculpture
Feutre
44 × 32 × 7,5 cm
2020

Image Marie Ward


10-2020
L'échiquier
Sculpture
Eindhoven, Paris
L'échiquier
Sculpture
Foulard, acrylique, jeu d’échec, pvc
50 × 50 × 7 cm
2020

Image Marie Ward


2019
Lieu-dit
Poster
Paris
Poster 1
Porcelaine non-émaillée, réplique de coquillages
Format A2
2019
Poster 2
Format A2
2019
Poster 3
Format A2
2019


2018/2019
Pandore
Installation, sculpture
Eindhoven

Cet en­semble est pensé au­tour du mythe comme mi­roir du réel. Il re­pose sur les codes sui­vants : Le vase, le cadre, le porte-bougie et les fleurs séchées. Ces élé­ments sont comme des notes sur les par­ti­tions d’une mu­sique qui nous ba­lade et nous laisse ima­gi­ner les pays­ages d’une na­ture morte. Chaque cou­leur est un maux é­chap­pé de la boite de pan­dore. Ils prennent la forme de re­li­ques, de fos­siles cor­rodés, émail­lés par le temps. Le geste de créa­tion se ré­pète et les formes éga­le­ment. La sym­pho­nie tourne en boucle, les ob­jets n’exis­tent plus en tant que tels, il sont une ombre fi­gée qui se brise dans un si­lence co­lo­ré de destruction. Le son des fis­sures ré­sonne comme l’écho d’une voix sin­gu­lière, une to­na­li­té in­connu, celle de l’es­poir qui, resté en­fer­mé dans la boite de Pan­dore, sou­haite se faire entendre.

Vase 1, Pandore
Scan de la serie "Pandore"
Céramique émaillée
7 × 22 × 11 cm
2019

Image Lucie Clause
Pandore
Scans de la serie "Pandore"
Céramique émaillée
7 × 22 × 11 cm
2019

Images Lucie Clause
Pandore
Scan de la serie
Céramique émaillée
12 × 5 cm
2018
Pandore
Scan de la serie
Céramique émaillée
12 × 5 cm
2018
Porte bougie, Pandore
Scan de la serie
Céramique émaillée
12 × 5 cm
2018
Porte bougie, Pandore
Scan de la serie
Céramique émaillée
12 × 5 cm
2018
Cadre, Pandore
Scan de la serie
Céramique émaillée
19 x 30 cm
2018
Cadre, Pandore
Scan de la serie
Céramique émaillée
19 x 30 cm
2018
Cadre, Pandore
Scan de la serie
Céramique émaillée
19 x 30 cm
2018
Pandore
Vue de l'installation
Chrysanthème, soie sauvage
Dimensions variables
2019, Eindhoven
Pandore
Vue de l'installation
Céramiques non émaillées, journeaux, gomme liquide
Dimensions variables
2019, Eindhoven
2018
Filtre
Objet
Eindhoven
Filtre
Scan du verso
Miroir, gravure laser
15 × 15 cm
2018
Filtre
Miroir, gravure laser
15 × 15 cm
2018
Filtre
Miroir, gravure laser
15 × 15 cm
2018


2017
Unweaving the Rainbow
Textile
Paris

Avec Loraine Mercier et Miléna Gâteau

Le pro­jet ex­ploite la phos­pho­res­cence d’un fil. Après tis­sage, la pièce ob­te­nue de­vient une sur­face flex­ible, une page sur la­quelle les mots ins­crits ap­par­aissent en lu­mière le temps de quel­ques se­condes, puis s’ef­face en ne lais­sant au­cune trace. Il est aussi un es­pace de jeux éphé­mère, et sur­tout un ob­jet à ob­ser­ver sous dif­fé­rents états. Ce tis­su existe seu­le­ment quand il est en in­te­rac­tion avec une per­sonne et son smart­phone. Ici il vit de manière éphé­mère au tra­vers d’un ver­nis­sage à la cha­pelle des Gobelins. Le pu­blic était alors in­vi­té à le faire réa­gir à sa guise.

Vue de l'exposition Unweaving the Rainbow
Chapelle des Gobelins
Tissage de fil de nylon phosphorescent, armure satin
100 × 100 cm
2017

Vue de l'exposition Unweaving the Rainbow
Chapelle des Gobelins
Textile animé par les visiteurs
2017

Vue de l'exposition Unweaving the Rainbow
Chapelle des Gobelins
Textile animé par les visiteurs
2017